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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 14:40

 

En voilà un petit boulot dans lequel je n'ai pas fait carrière. Vendeuse de tout et n'importe quoi pendant des années, téléopératrice en tout genre : oui. Mais nounou … non.

 

« Fais un peu de baby sitting ». Mon entourage était unanime, pour me faire 4 sous je devais garder des mouflets. Sauf que mon entourage ne m'avait jamais vu avec un être de moins de 5 ans. Quand je porte un enfant, je me comporte comme si je portais une cagette de nitroglycérine, et si je me retrouve à devoir agir avec (jouer, le faire manger ou pire le laver) je suis aussi à l'aise que si je portais une cagette de nitoglycérine, le tout sur une piste de dancefloor.

 

Les gamins sont certes des choses mignonnes, mais j'ai l'impression que dès que j'en porte un il tortille, pleure, devient tout rouge, bref des choses que je ne peux gérer qu'en interpellant la maman « il fait des trucs bizarre là tu peux le reprendre » et d'être après stressée comme si j'avais commis la tentative d'un homicide involotaire.

 

J'ai appris plus tard que quand ils deviennent rouge ils sont probablement en train de couler un bronze, ce qui ne me réconforte guère.

 

Le baby sitting donc c'était niet, nada, never. J'aurais bien trop peur de me retrouver en prison. En revanche, le baby sitting de nuit me rassurait, à condition que le mouflet dorme. Il suffit dans ce cas d'arriver, de souhaiter bonne soirée aux parents, de s'installer dans le canapé et de mater un film en attendant leur retour du cinéma.

Ajoutons à cela une demi-douzaine d'aller-retour dans la chambre du chieur pour vérifier qu'il respire toujours et on a là une soirée à peu près tranquille et pas trop mal payée.

 

J'ai souvent gardé ma nièce en toute tranquilité, pensant que si il arrivait quoi que ce soit, étant de sa famille, je pouvais toujours la transfuser ou appeler mon frère en hurlant pour qu'il laisse tomber sa soirée « elle a fait cacaaa je sais pas faire », chose que l'on ne peut faire avec des parents inconnus.

 

Le baby sitting est donc resté pour moi une activité ponctuelle et nocturne, et c'était très bien comme ça pour la sécurité des enfants et ma tranquilité.

 

Sauf qu'un jour, je reçu une offre sérieuse de baby sitting lorsque je vivais à Barcelone « vous devrez le chercher à l'école, le faire jouer, manger en attendant que ses parents rentrent » me dit la femme du consulat qui n'avait probablement pas lu mon cv.

 

N'étant pas en mesure de refuser une quelconque offre d'emploi, j'acceptais de me rendre à l'entretien fixé chez la maman même. Et puis le gamin était relativement grand si il allait à l'école, il arriverait à parler si quelque chose ne tournait pas rond.

 

J'arrivais chez la mère, un peu stressée à l'idée qu'elle mette la vie de son garçon entre mes mains tremblantes. « Vous avez déjà fait du baby sitting ». « Oui, non, enfin un peu » … Mais j'avais des petits frères, avec qui ne n'avais pas vécu certes mais psychologiquement ca aide non ?

 

Elle me présenta le mouflet, et je fus alors plus intimidée encore que quand j'ai rencontré la mère. Je lui tendis ma main alors et me souvenu qu'on ne serre pas la poigne à un môme. Mais on fait quoi alors ? Mince, je lui fais la bise ?

Le môme et sa mère attendaient une quelconque réaction de ma part, je décidais alors de laisser le choix au mome en lui proposant de me faire un bisou, chose qu'il refusa achevant de me mettre mal à l'aise.

 

Nous avons conclut l'entretien pour la forme mais je su que l'on ne me rappelerait pas.

 

Le baby sitting c'est pas pour moi.

 

La-baby-sitter.jpg

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 06:48


Septembre c'est en général le mois du double emploi pour moi. Que ce soit les vendanges, ou une mission d'intérim, en général je travaille plus pour combler le cratères financier des vacances.

Cette année ne déroge pas à la règle.


L'année dernière et celle d'avant, j'arrondissais ma rentrée en travaillant le soir sur un festival de piano.

Il est un peu tard pour leur faire de la pub mais il est vrai que dans la ville rose est organisé en septembre un chouette festival de piano dans un cloitre magnifique. Ceux qui peuvent aller à un concert sans pogoter y trouveront leur bonheur, les autres (comme moi) … n'y allez pas.


J'avoue à demi-mot n'être jamais resté pour les concerts même si le fait que j'y travaille m'exemptait de payer la place. J'ai un peu honte parce que la culture, le piano et blablabla mais bon je m'ennuie vite si je ne remue pas.


Vous vous doutez bien que ma mission sur ce festival n'était pas de jouer du piano, ni de l'organiser. Non, on sait très bien que malgré mes études toute mes tentatives de rentrer dans l'organisation culturelle ont échouées en stages et en petits boulots.

Ma mission consistait à placer les riches, les institutionnels et les passionnés aux premiers rangs. Avec tout un tas d'autres jeunes embauchés pour l'occasion.


Il y a un public de premiers rangs très hétéroclites pour ce genre de concert. Il y a ceux qui y vont pour se faire voir, puis d'autres qui sont là car ils n'ont pas su refuser l'invitation d'untel. Ceux-ci ont naturellement les meilleures places. Il y a ensuite les passionnés, qui n'ont pu acheter leurs places qu'une fois celles de la première catégorie vendues et qui ce retrouve donc du mauvais côté du piano ou derrière une colonne du cloitre.

Ces incohérences donnaient souvent lieu à des grumeaux de gens se battant pour échanger leurs places tout en restant en groupes : les invités dormant derrière la colonne et les passionnés pouvant apprécier le spectacle.


Ce qui me plaisait le plus dans ce travail c'est d'être tout le temps sur mon 31. Il fallait être à la hauteur du lieu et de l'évènement, nous étions donc prié d'être zappé en conséquence. S'habiller trop-la-classe ce n'est pas mon genre mais quand on me prie de le faire ça m'amuse.


Cette année je n'ai pu y travailler car mes horaires ne me le permettait plus … et parce que j'avais un peu la flemme aussi.

Je ne pourrais donc pas rattraper mon retard en concert de piano. Si je ne suis pas devenu férue de piano grâce à cette expérience j'ai, par contre, acquis une autre compétence et pas des moindre : je sais marcher en talons haut sur des pavés comme personne.


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19 avril 2009 7 19 /04 /avril /2009 19:01

Il y a parfois des comportements qui ne sont pas cohérents.  Non contente de gagner un demi-smic et d’avoir un emploi du temps en gruyère aux trous mal répartis, je me rajoute de temps en temps des missions de bénévolat.

Des petits boulots non payés en somme.

Il y a toujours une bonne raison pour faire du bénévolat : se donner bonne conscience, passer le temps, rencontrer de nouveaux amis ou bien se faire connaître l’air de rien d’un potentiel employeur.

Notez bien que la fille qui pense trouver un potentiel employeur en la personne qui recrute 150 bénévoles pour un festival subventionné par la région n’a pas inventé l’eau tiède.

Je ne me sens absolument pas concernée.

Il y a quelque mois, je sautais sur l’occasion d’intégrer de loin l’équipe d’un festival  litteraturo-culturel en rejoignant son staff de bénévoles.

Affublée d’un tee-shirt vert, ma mission serait celle de récupérer les billets des personnes venant voir une lecture, de le déchirer légèrement, et de leur souhaiter une bonne soirée. J’aurais pour avantage de manger gratuit sous les chapiteaux prévus pour l’occasion à condition d’arriver à l’heure et je pourrais même assister aux lectures gratuitement si le cœur m’en disait et surtout à condition qu’il reste des places.

C’est avec conviction que j’arrivais le lendemain sur mon lieu de bénévolat, prête à assumer ma mission avec le plus grand sérieux, participer pour ce festival étant pour moi, la chance de pouvoir mettre un orteil dans la grande famille des actants culturel de la ville.

Je me voyais déjà organiser moi-même le festival l’année d’après, songeant à régler deux ou trois petites choses qui m’avait semblé confuses lors de la réunion de bénévoles lorsque je tombais nez à nez avec d’autres tee-shirt vert attendant eux aussi de déchirer légèrement le billet des 6 spectateurs venus ce soir pour l’occasion.

Après une brève présentation avec mes collègues d’un soir j’appelle l’organisateur et lui fais part de ma surprise de se voir être 5 pour déchirer 6 billets. Il m’informe que ah mince désolé on vous à pas prévenue mais de toute façon on ne savait pas où vous mettre vous être trop nombreux à être bénévoles.

Je grommelais intérieurement que ce n’est pas parce que l’on n’est pas payée qu’il faut nous faire perdre notre temps.

Ce fut ma dernière mission en temps que bénévole.

Quitte à perdre mon temps je préfère être rémunérée.

Le bénévolat, c’est bien.

Ne pas être prise pour une andouille, c’est mieux.

 

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8 avril 2009 3 08 /04 /avril /2009 07:49

Tasse de café : check

Pages internet utiles à mes appels ouvertes à côté de Facebook et gmail : check

Radio en fond sonore, mais le son assez bas pour ne pas me gêner : check

Plantes arrosées, chats nourris, appart aéré : check

Petit creux comblé par anticipation avec un sandwich prématuré à 10h : check

Je suis parée, je n’ai aucune excuse.

Alors pourquoi je n’y arrive pas ???????

 

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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 14:49

Je suis en pleine crise financière.
Pas celle dont tout le monde parle.
Non.
La mienne.
Je viens de recevoir mon salaire de temps partiel. Ca n’a pas été suffisant pour recouvrir mon découvert à temps complet. Ayant anticipé le problème à la fin du mois et voulant éviter une contamination à tous les commerçants du quartier, j’ai pris mes dispositions : accepter d’être payée au lance-pierre en échange de quelques heures de service ça et là.
C’est toujours mieux que rien, et surtout c’est toujours mieux que faire des inventaires qui sont à la mode en cette saison.

Désormais quand je ne suis pas en train de bâcher les jambes des gentes dames pour la boutique, je suis chez moi, en train de vendre des spectacles pour un collectif d’artistes du coin.
Notez bien que j’ai fait des études en Arts du spectacle et que ce n’est pas, pour une fois, un petit boulot hors sujet.

Mais bosser de chez soi veut surtout dire une chose : BOSSER DE CHEZ SOI. Le popotin posé sur SA chaise, avec SON frigo et SES tâches ménagères en retard.
C’est donc un véritable défi que je m’auto-lance : arriver à travailler avec de la vaisselle dans l’évier, le lit moelleux à 5 mètres et mon livre à moitié commencé aux toilettes!

Alors travailler chez soi c’est facile, mais est-ce bien efficace ? La suite bientôt …

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 21:52

C’est la fin de l’année fiscale pour les entreprises.
Pour ceux qui travaillent comme responsable dans un commerce quelconque, cette fin d’année rime avec le doux nom d’inventaire. L’inventaire c’est en effet le moment où il faut pré-compter, compter et re-compter chaque article en magasin pour voir ce qu’il y a, ce qui manque, et les erreurs produites pendant l’année.

Le pied quoi.

Mais c’est aussi l’époque où les agences d’intérim ressortent de la poubelle les CV d’étudiants.

Etudiante j’ai été, inventaire dans les grands magasins du coin j’ai fait. Pour être inventoriste d’un jour, il suffit juste de pouvoir se lever tôt, de savoir compter, de se mouvoir jusqu’à la zone industrielle et de pas avoir peur de passer plus de 5 heures dans une grande surface.
Je sais compter c’est déjà bien.
Pour le reste je me suis débrouillée comme j’ai pu.

Il faut savoir que quand on arrive sur place, tout est déjà super organisé par les employés et les professionnels de l’inventaire (oui ça existe) invité en guest-star pour l’occasion. On n’a plus qu’à boire son café, manger son croissant gentiment fourni par la boite, garder les yeux ouverts et se mettre devant sa partie à compter, entre les marques au sol que l’on nous aura attribuées.
Après, si on a de la chance, on tombe sur une zone où tout est rangé et nickel ... ou bien on tombe sur les berlingots de savon du bas des rayons shampoing/gel-douche, qui n’ont pas bougés depuis le dernier inventaire, agglomérés les uns aux autres et recouverts d’une fine couche de crasse.
Déjà qu’il faut s’efforcer de garder les yeux ouverts en une heure si inhabituelle, il faut en plus éviter de vomir son croissant. Mettre les mains dans la poussière à 6 heures du matin n'est pas à la portée du premier étudiant venu.
Si fauché soit-il ...
J’ai tout compté avec autant de sérieux que la situation le permettait.
Professionnelle jusqu’au bout, j’appelais tout de suite l’agence intérim, leur mentionnant que deux inventaires étant bien suffisant à mon épanouissement personnel, je m’arrêterais là pour le reste de ma carrière.

... On fait l’inventaire de la boutique de collant à la fin du mois.
Qui a dit qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ?
Ceux qui n’ont pas le choix peut-être …

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12 mars 2009 4 12 /03 /mars /2009 09:07
Il y a des mois qui sont plus difficiles que d’autre.
Décembre par exemple. Avec cette connerie de Noël, il devient alors fort nécessaire d’annexer au boulot déjà existant, une autre activité afin de survivre à ce mois de consommation aigue.
C’est ainsi que l’on se retrouve généralement avec un second petit boulot, encore plus inintéressant que le premier.

Lorsque je suis en recherche d’emploi je sélectionne toujours plus ou moins les endroits où je laisse mon CV. J’ai déposé mon CV en novembre dans la plus belle librairie de la ville en pensant que peut-être ma polyvalence et mes expériences les séduiraient. Quelques semaines plus tard je reçois un message de la personne des ressources humaines « Bonjour Brune votre cv nous intéresse nous aimerions vous proposer un poste à compter du mois de décembre, rappelez-moi ! ».
Ni une ni deux je rappelle le numéro correspondant. -Bippppppp- ça y est on m’a enfin repéré à ma juste valeur, on veut me proposer un vrai travail. -Bippppppppp- travailler dans cette magnifique librairie que demander de plus! -Bipppppppppp- vont-il me mettre aux rayons des arts, ou bien est-ce pour organiser les manifestations culturelles ? -Bipppppppp- Peut -être vont-il me proposer de ...
-DRH librairie bonjour ?
- Bonjour, je suis Brune vous venez de me laisser un message ...
- Ah oui je vous appelais car nous recherchons du monde pour notre stand papier cadeaux en décembre.

Ou se trouve la corde-rasoir-barbiturique-cd de la Star Ac? Mon CV était-il donc aussi insignifiant que ça pour que l’on me propose de faire des emballages cadeaux. Ma lettre de motivation était-elle si désespérée ? J’allais l’envoyer paître lorsque je passais devant ma banque.

-OK ...
-Parfait!

J’ai passé le mois le plus long de toute ma vie. Perchée derrière l’énorme stand papier cadeaux, j’emballais des livres à la chaîne, en faisant bien attention à ne pas mettre plus de deux bouts de scotchs, faisant face à des files de gens aussi détendus par les fêtes que l’était ma nuque après une journée de boulot. Il m’arrivait de ne pas relever la tête pendant six heures, voyant juste les livres se déposer en montagne sur le stand, les papiers se corner, les deux bouts de scotchs se collant aux doigts, les gens râler car ça n’allait pas assez vite et qu’il fallait encore passer chez le pâtissier.

La magie de noël quoi.
Parfois j’envis le temps de nos parents où l’on s’offrait juste une orange.

En même temps va emballer une orange...
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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 11:21
Avec mon brun on s’imagine souvent les brainstormings des grands pontes de la publicité que l'on surnomme coco.
Dés qu’il y a un changement sur une publicité, si imperceptible soit-il, on part pendant 45 minutes de débat en essayant de connaître les raisons de ce soudain changement. Le dernier changement en date vient de la pub pour les rasoirs Ginette* où au moment du slogan, on s’aperçoit, sapristi, que le gars qui chantonne insiste désormais plus sur le « u » que sur le « in » de « masculin » sans doute moins vendeur. Le « u » serait-il plus vendeur que le « in » ?
Sans doute oui, surtout précédé d’un « c » et suivit d’un « l ».

Non je n’ai pas fait un stage chez carambar. Et oui, avec mon brun on s’éclate dans la vie.

Lorsque l’annonce proposant de travailler pour un institut de sondage parue sur internet, je sautais sur l’occasion. J’allais enfin pouvoir tirer les vers du nez des gaulois par téléphone, à l’heure où le repas est prêt et les pieds installés dans leurs pantoufles. On allait enfin savoir ce qu’ils pensent de l’image d’une grande banque, à chaud, en pleine période de crise.

J’ai tout de suite postulé.

Faire parti de la chaîne qui mènera à un énorme brainstorming sur la question « doit-on ou non rendre le rouge du logo plus foncé » m’emplissait de pouvoir.

Le fait que mon découvert autorisé touchait à son maximum talonna de prés cette première raison.

Après une formation ennuyeuse au possible où rien ne fonctionna, on passa rapidement au premier appel sans avoir lu les questions au préalable. Nous savions juste que nous sonderions les personnes sur une banque en particulier en les noyant sous un tas de question sur d’autres banques histoire de les embrouiller encore plus.

Et ce avec une série de question qui ne durait pas moins de 30 minutes en moyenne...

Lorsque j’arrivais à ferrer une personne, ce n’était pas gagné, il fallait ensuite éviter de lui laisser trop longtemps la parole pour t’envoyer bouler suite à la cinquantième question ressemblante étrangement aux quarante-neuvièmes autres.

En effet les questions ressemblait toutes peu ou prou à celle-ci:

Parmi les produit bancaire que nous venons d’énumérer pendant 5 minutes quels sont ceux que vous changeriez juste un peu pour voir par rapport à la banque citée précédemment? Pour la carte bleue vous diriez : 1- que vous ne changeriez probablement pas…

Blablabla et ainsi de suite avec 2, 3 4 et 5 en reposant la question pour chaque produit bancaire et pour chaque banque.
En plus il faut tout dire mot à mot sinon c’est pas du jeu et le sondage n’est plus valable.
C’est en principe le moment où la personne menace de t’envoyer une horde de mafieux demain si tu ne lui fous pas la paix.
Elle ose te dire ça à toi, gentille comme tu es de l’avoir rappeler après la première coupure. « C’est encore moi, je crois que nous avons été coupé… »

Certains sondages arrivent tout de même à terme, produit par une catégorie de personnes donné et aidé par des téléopérateurs chevronnés. S'arrête là notre participation. J’imagine qu’ensuite une armé de petites mains doivent ensuite traiter l’information pour n’en tirer que l’essentiel afin de permettre à quelques créatifs de pondre une publicité transparente montrant que oui, madame et monsieur on vous à bien entendu.

Je n’ai pas eut le loisir de faire parti de la chaîne bien longtemps.

Quel dommage. Hein coco.
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