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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 10:39


Les entretiens d’embauche sont toujours une épreuve. 
Pour mon déodorant tout d'abord. Ce doit être le seul moment où je lui demande de jouer son rôle d'anti-transpi et c’est le seul moment où il oublie.
Pour la confiance en soi les auréoles sous les bras c’est moyen.
Les concepteurs de publicité devraient démontrer dans leurs films, l’efficacité d’un déodorant lors d’un entretien d’embauche. Les ventes exploseraient.

Les entretiens d’embauche, c’est vraiment un moment de séduction où l’on veut à la fois être une candidate professionnellement sexy et intéressante tout en restant vive et à l’esprit critique. C’est une perpétuelle gymnastique du cerveau que d’arriver à énoncer une phrase comportant les mots « je », « formidable »,  « débutante », « entreprise », « améliorer », « rentabilité ».
Qui plus est lorsque l’employeur tiens votre CV entre ses mains et que l’on pense  pourquoi j’ai mis cette photo immonde, j’ai pas justifié ce paragraphe, mon dieu et la police d’écriture ...


Une fois que l’on s’est présenté en se prostituant un peu tout de même, on se prépare aux questions que l’on va nous poser.
En général il y a des questions sur le poste et des questions plus vagues destinées à déstabiliser et tester la personnalité du candidat.
Sur le lot on se doute bien qu’il y en aura auxquelles on ne saura pas répondre, mais parfois il s’avère que l’on ne sait répondre à rien …
C’est le moment des blancs et des « hummmmmmmm » qui font grandir les auréoles sous les bras.


Je ne me prépare jamais pour un entretien, je décide d’y aller moi-même et naturelle en laissant jouer ma spontanéité.
A tord.
Car la spontanéité, ces moments là eh bien elle fout le camp.


Lors de mon dernier entretien d’embauche je pensais aux candidats de « Qui veut gagner des millions » et pensais dans ma tête que jamais ô plus jamais je ne hurlerais « beh il répond ce con ou quoi c’est simple pourtant »
Car lorsque l’on a la pression eh bien répondre à la moindre question ça devient difficile.

Je tiens à préciser que je ne regarde pas « Qui veut gagner des millions » de façon régulière mais que ça m'arrive de tomber dessus par hasard.


Quand on sèche sur des questions telle que « quand est-ce que vous vous êtes sentie plus maligne que les autres ? » ça commence à craindre pour la perception qu’à l’autre de soi. Surtout que l’on a ni envie d’inventer, ni envie de sortir que c’est la fois où l’on a ouvert le pot de confiture à mains nues après en avoir chassé l’air avec un couteau à bout pointu.

C’est généralement après l'entretien, sur le chemin du retour que les réponses aux questions reviennent en vrac. D’anecdotes rigolotes à réponses fines et intelligentes, on hésite à rappeler l’employeur pour demander un deuxième entretien.

Mais on ne le fait pas plus que l'on ne change de déodorant en rentrant chez soi.

Toute la journée fraîcheur Narta. Mes fesses quoi !


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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 12:31

Dans deux jours c’est mon anniversaire.

27 ans.

Bordel.

 

Je ne suis pas du genre à complexer sur la vieillesse car de toutes façons, on a beau complexer, on n’y changera rien. Donc mieux vaut dépenser son énergie à focaliser sur autre chose.

 

La cellulite qui s’installe par exemple.

Et ne me dites surtout pas qu’on ne peut rien y changer ! Je préfère pour  ça écouter les publicités mensongères de crèmes miracle.

 

Avoir 27 ans dans deux jours me fait prendre peur car chaque année qui passe est une année où une concurrence massive arrive.

Cette année encore, des jeunes filles de 20 ans ou pas beaucoup plus, directement sorties de l’école arrivent, disponibles et pimpantes avec un CV encore à écrire.

Avec des connaissances fraîchement mémorisées elles ont une longueur d’avance sur les « femmes » de 27 ans qui recherchent, elles aussi, un job.

 

Paradoxalement oui.

Pourquoi ?

 

Les femmes de 27 ans ont oubliées des connaissances scolaires pour en acquérir d’autres sans intérêts. Elles ont relégués cours et TD au rang de souvenirs lointains et ne se souviennent de la fac que l’adresse des bons bars où l’on allait se détendre entre deux cours.

Me dire que le seul domaine où je suis véritablement incollable aujourd’hui est le collant me fait tout de même mal au cœur.

 

Les femmes de 27 ans ont plus d’eau qui a coulé sous les ponts de leurs CV. Parfois il en reste un souvenir d’eau croupie, d’expériences mal digérées qui reviennent dans les entretiens d’embauche comme un leitmotiv plombant. « Oh vous savez moi on me la fait pas,  les employeurs malhonnête je les connais ! ».

 

Les femmes de 27 ans ont 27 ans, donc hypothétiquement, c’est l’âge pour les employeurs où  elles vont commencer à avoir envie de créer une famille, de se marier bref, de penser à tout sauf au boulot pour lequel elles postulent.

Ce qui est faux bien sûr. Enfin du moins pour toutes celles qui se sentent incapable de garder un bébé dans les bras plus de 1 minute sans stresser.

 

Les femmes de 27 ans ont besoin de sous. Les familles loin derrière, les chèques reçus pour les anniversaires et noël se sont transformés en couvert en argent, en machine à pain et autres choses fort utiles lorsque l’on vit dans un petit appart.

Alors le besoin de sous fait qu’elle doit travailler et peu importe ce que l’on trouve, on n’a pas toujours le temps d’attendre mieux.

 

A cause de tout ça et bien les femmes de 27 ans ont un CV incohérent avec tout plein d’expérience si on regarde bien. Mais l’employeur il va plus se concentrer sur le CV d’une fille de 20 ans, propre comme un sous neuf où les dernières expériences de stagiaire sont évidemment en accord avec le poste.

 

Je vous aime bien jeunes filles de 20 ans aux cuisses fermes et aux lendemains de cuites faciles, mais vous formez pour moi une concurrence redoutable.

 

Jalouse, moi?

Pfffffffff

 

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6 novembre 2009 5 06 /11 /novembre /2009 10:03

Ca y est la boutique c’est terminé.

Je m’en rendrais vraiment compte lorsque j’aurais maillé tous mes collants gracieusement offerts par la marque et que je devrais retourner acheter des Dims et autres marques que j’ai dénigrées pendant 1 an. « Ah oui Madame nos collants sont horriblement cher mais au moins vous savez dans quoi vous mettez le prix ! Que préférez-vous achetez un collant à 30 euros qui va durer ou acheter 6 mauvais collants à 5 euros par semaine ? »

La cliente revenait en général la semaine d’après avec son collant à 30 euros maillé et préparé en fronde pour me lapider.

Je lui avait pourtant dit que ça restait tout de même fragile comme un collant classique.

Comment ça je me contredis?

Et puis je n’ai pas encore dit au revoir à mes collègues.

Alors je vais préparer un petit goûter à amener sur place et écouter de loin les clientes demander des collants noir pas trop sombres opaques mais transparents à la fois en me disant que oui, partir était la bonne solution.

Là je leur dirais au revoir, je reniflerais une dernière fois le bouquet de fleurs fraîches amené par le fleuriste toutes les semaines. Je tripoterais les testeurs de collants en fourrant ma main dans les plus doux, celui en cachemire en tête,  je repositionnerais dans l’axe les cintres, comme ça, machinalement.

Et puis je m’en irais, les yeux un peu mouillés sans doute mais le sourire aux lèvres. Je marcherais dans la rue en balançant mes bras avec nonchalance et désinvolture telle une fille pour qui les petits boulots sont un lointain souvenirs.

Arrivé à l’angle je me dirais « merde, avec tout ça, j’ai oublié de récupérer mon chèque de solde de tout compte »

Alors je repousserais la porte pour ce qui serait la dernière fois, mes collègues me regarderont en se disant « tiens elle vient nous dire un dernier au revoir » et là je réclamerais mes sous avec un sourire un peu gêné.Et puis on signera les papiers et on retombera dans des considérations tellement plus terre-à-terre de congés payés, d’oubli et de paraphe en bas des pages. Alors je me re-en irais un peu plus sèchement et elles se diront, bon j’espère qu’elle n’a rien oublié cette fois-ci, de toute façon c’était pas une si bonne vendeuse on n’a rien perdu.

 

Pour éviter d’en arriver là, le chèque il faut le demander dès le départ. Ca permet de s'en aller avec un goût de gâteau spécialement amené pour l'occasion dans la bouche et pas avec un goût amer de solde de tout compte.

 

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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 10:33
Is the last day de la boutique.

Et surtout is the last day des petits boulots en fait.

Ca fait drôle.


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3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 13:00


 

On relance le débat sur le CV anonyme depuis hier. Un CV où il n’y aurait ni adresse, ni nationalité, ni nom, ni photo moi je dis oui. Bien que j’ai un prénom bien français et un nom de famille un peu espagnol qui ne dérange pas trop, je trouve que le CV anonyme est ce qui a été dit de mieux sur le CV depuis longtemps.

 

Pourquoi ? Mettons nous en situation : Imaginez un employeur qui reçoit mon CV. Il  le tiens en main, et se dit « Oh ! Qu’il est beau » et « Oh ! Il y a même une lettre de motivation manuscrite » et puis il commence sa lecture par le coin à gauche, là où apparaît le nom. Et là il s’étrangle. Il remarque une espagnolade (mon nom de famille donc) qui lui rappelle tant de souvenirs. Cela peut être une rupture douloureuse avec Marie-Paz, son ex, ou encore une paella mal digérée, mais toujours est-il que mon CV terminera en boule dans la corbeille à papier. Si tant est qu’il soit arrivé à la fin de sa lecture et qu’en plus il a remarqué que j’ai vécu en Espagne, et mon CV finit en substitut de papier hygiénique.

 

Et puis un CV anonyme c’est bien aussi car on n’aura plus besoin de mettre de photos. Et croyez moi pour quelqu’un d’aussi peu photogénique que moi c’est un grand pas. Ne disposant pas d’appareil photo, ni de web cam et encore moins d’imprimante je fais les photos à l’ancienne, dans un photomaton ou chez un photographe. Inutile de vous dire que vu le prix, les clichés de ma tronche crispée, je choisis sur quels CV je les colle et à quels employeurs je les distribue ! C’est limite si une fois la réponse de refus reçue je ne demanderais pas à l’employeur de me la retourner « parce que hein bon vous savez c’est la crise ». Et puis ça éviterait de faire partie malgré soi du concours de la photo la plus ridicule de candidat.

 

Si si je suis sûre que ça existe.

 

Et puis il y a l’adresse aussi. Dans sa forme actuelle, en plus de mentionner l’endroit où l’on se trouve en poste et de en plus de mentionner si on est une bonasse ou pas le CV indique aussi à ce cher monsieur où l’on crèche.

Ca fait peut-être un peu beaucoup non ?

Vous imaginez le sosie de Melissa Theuriau qui travaille comme serveuse au lolo bar et qui en plus habite à deux pas et bien moi je vous dis, il vaut mieux qu’elle ferme sa porte à clés !

 

Mais plus sérieusement le CV anonyme ne va pas définitivement rabaisser le caquet des patrons trop portés sur l’uniformité, mais au moins il évitera de casser le moral des personnes qui postulent. Envoyer une centaine de cv pour aucune réponse, au bout d’un moment ça doit quand même titiller les glandes lacrymales. Alors que si on se fait refouler à l’entretien au moins on peut clairement se soulager de ne pas avoir à travailler avec un con pareil.

 

Voilà entre paranoïa et réalité ce que je pense du CV anonyme. Même si tout le monde s’en fout !

 

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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 08:09

Hier en boutique :

Je vous la fais courte car il y a 45 minutes de débat avant ce bout de dialogue.

"Madame je vous confirme qu'il vous faut prendre du S car le M fera des petits accordéons très disgracieux sur vos chevilles"
"Je vous préviens que si ça ne va pas je reviens avec ma kalachnikov" (Ce n'est peut-être pas le texte exact mais à ce stade de la conversation j'étais un peu dans le flou)
"Madame, regardez-moi, je suis plus grosse que vous et je prends du S"

La cliente fait gentiment le tour de la caisse pour venir vérifier mes dire en me reluquant de pied en cap.

"Ah oui en effet, donnez-moi du S alors"

Cri intérieur très puissant.

Je l'ai cherché aussi.

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26 octobre 2009 1 26 /10 /octobre /2009 10:44
On a tous eu affaire à lui un moment ou à un autre. Les plus chanceux s’en sont sortis et le considère comme un mauvais et lointain souvenir. D’autres sont encore en contact avec lui et frémissent à l’idée de l’être pour longtemps. Plus ou moins rude selon les pays, on se positionne tous par rapport à lui.

J’ai nommé : le SMIC
Le Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance
Ou le Salaire Minimum Amélioration de Coquillettes

Mais là ça s’appellerait le SMAC. C’est plus joli mais là n’est pas la question.

Avoir un boulot qui plaise c’est le top, mais s’éloigner un peu du smic en vu de ne pas trop songer à son compte en banque à partir du 15 de chaque mois, c’est mieux.
C’est vrai, à presque 27 ans j’ai tout de même envie de toucher plus.

"Presque", c'est jusqu'au 12 novembre, et je si dis que mon flacon de « for her » de Narciso Rodriguez est vide et qu’un de mes rêves est d’avoir un tourne-disques,
c'est comme ça, en l’air.

Bref.

Une fois dans ma vie, j’ai touché plus que le SMIC : c’est lorsque je vivais en Espagne où il avoisine les malheureux 700 euros pour 40 heures de travail par semaine.  Avec des loyers frisants les tarifs parisiens , j’avais juste envie de m’étrangler avec mon CV lorsque je cherchais du travail et que l’on m’annonçait la rétribution associée.

J’ai réussi à trouver un travail à 800 par mois  :  pas le Pérou, mais c’est aussi un chiffre à partir duquel on ne peut plus se plaindre.

Lorsque j’en parle autour de moi, j’ai l’impression que les autres touchent toujours plus que le SMIC,  de 1500 à 2000 euros pour 35 heures et pas de responsabilités énormes pour autant. Alors, tandis que je trouve des parades pour arriver péniblement à 200 euros en plus, (parades aléatoires et incertaines comme travailler le dimanche et le soir, emballer des livres à noël dans une librairie, atteindre les objectifs commerciaux pour avoir une très vague prime), et bien je me pose des questions :

Hormis savoir négocier au moment de l’entretien, on fait comment pour que le SMIC arrête de nous coller aux basques ?

Ceci dit heureusement qu'il existe, sinon je n'ose imaginer combien les employeurs seraient prêt à nous payer ...
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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 11:22
Parce qu'il y en a marre des offres d'emploi prout-prout-balai-dans-le-cul, voici la partie d'une annonce de chargée de com / community manager qui m'a bien interpellée et bien fait rire !


Salaire et conditions :
Alors, maintenant que ceci est posé, je vous le dis tout de suite, ne vous faites pas d’idées. Le projet est fabuleux, la mission sera passionnante, l’expérience top enrichissante, l’ambiance de travail sympa comme pas deux…
mais le salaire sera pourri. Normal, on est une start-up, on perd de l’argent et on tient à notre frugalité.

Donc, si vous n’êtes pas prêt à travailler pour le SMIC avec un intéressement aux résultats et avec une forte motivation, ne perdez pas votre temps, ne nous faites pas perdre le nôtre.

Par contre, on ne cherche pas le mouton à cinq pattes (quoi que si on le trouve, on le prendra bien sûr). Même si vous n’avez aucune expérience, vous pouvez postuler : on vous formera. A la dure, mais on vous formera.

Pour résumer, vous voulez travailler dans le web, le e-commerce, le marketing, la com’, le SEO, vous êtes tenace et malin, vous écrivez bien, et vous êtes prêt à vous contenter de peu aujourd’hui parce que vous voulez apprendre et réussir ? Alors viendez !!


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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 18:54


J'ai toujours eu beaucoup de mal à quitter mes boulots. Du débouchage de chiottes chez le Roi du Burger à la boutique de déco c'est avec avec la goutte à l'œil que je claque une dernière fois la porte tant de fois poussée a reculons.
En partant d'un boulot c'est tout un tas de bonnes et mauvaises d'habitudes qu'on laisse. Alors on râle mais aussi si on y revient. Et hormis pour le salaire ou par pur masochisme c'est bien qu'il y a quelque chose de plus stimulant.

J'ai mis 6 mois à donner ma démission à la boutique de déco, me séparer de mes collègues me faisant beaucoup de peine. Et ce au grand dam de mon brun qui attendait avec impatience que je le rejoigne dans la ville rose.
« Mais que vont-elles faire sans moi? » on se demande parfois. Se croire indispensable dans un boulot peut être le signe d'un égocentrisme incurable mais cela peut-être aussi la preuve que l'on prend sa tâche à cœur après tout.

Ceci dit j'ai débouché les chiottes avec courage pas avec cœur.
Ou peut-être par obligation.

Lorsque l'on est sur la ligne de départ, on voit les personnes qui défilent pour nous remplacer, armés de cv et de sourires. Ah. C'est donc elle/lui qui va se faire chauffer de l'eau dans la bouilloire pour se préparer un thé à la menthe, c'est elle/lui qui va papoter avec les collègues...

C'est aussi elle/lui qui va se farcir les clientes désagréable, les appels à n'en plus finir, les humeurs du patrons.
Mais le travail c'est un pack d 'éléments divers et s'en séparer et bien … ça picote.

Voilà pourquoi j'étais presque contente quand à la boutique ma responsable m'a dit aujourd'hui que je terminerais le 5 novembre et non le 28 octobre.

C'est vrai quoi je les aime bien quand même.


 

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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 08:28

La plateforme est lancée. Il y a eut du monde. Beaucoup de monde. Toutes les personnes qui ont été invitées en fait. Manquait juste les personnes susceptibles d'avoir contractée la grippe ou ceux qui auraient mangé des sushis avariés.

Mais sinon tous les inscrits étaient là.
230 personnes à accueillir, à orienter et à renseigner ce n'est pas une mince affaire lorsque l'on a pas une armée d'hôtesse pour nous aider. Mais on y est arrivé.

Et puis parfois, lorsque l'on organise une soirée, on pense que tout va se passer comme dans un rêve, en oubliant que les personnes ont une entités propre et qu'ils ont au même moment envie de faire pipi, de manger, de boire, de parler à leurs potes, de draguer, de.... de faire plein de choses au moment où on aimerait qu'ils écoutent le discours, qu'ils s'inscrivent, qu'ils testent.
Bref, ils ne font pas exactement ce que tu avais prévu à la seconde prés. Et puis dans nos pensées les bugs des ordinateurs présent pour que les personnes testent la plateforme n'existaient pas non plus.

Mais on y est arrivé.
Hormis celles pour qui la drague avait marché les autres se sont presque toutes inscrites.

Le lieu était joli, le buffet à fait son devoir de buffet, le champagne son devoir de champagne et le doliprane son devoir de doliprane.

Même si il y a des choses que l'on aurait aimé faire mais que nous n'avons eut le temps d'accomplir, et même si l'expression « on ne peut pas plaire à tout le monde » est toujours aussi vrai et désagréable et bien on se dit que le pari est réussi.

Il y aura toujours des éléments à modifier, à arranger et à garder sur la plateforme.

Mais c'est ça aussi le web 2,0 non?

Pour ceux qui aimerait jeter un oeil à la version bétâ-Toulouse c'est ici : http://www.wikan.org/


P.S : Merci à Anne, Eric, Joseph et Crilod'être venu ! On se revoit bientôt, vous verrez je serais un peu moins surexcitée !





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